05 juillet, 2024

Arielle Dombasle - Olympics

Portrait de  Joseph Karl Stieler

Mélomaniac des premiers jours ou visiteur de passage, en ces jours de sinistrose voici de quoi oublier ton humeur morose.

Ceux qui me connaissent bien savent que j'aime la musique, toutes les musiques, mais que j'aime aussi me taper une bonne tranche de rigolade.
Pour peu que je puisse allier les deux, je ne vais donc pas bouder mon plaisir !

Cependant, avant de continuer, au nom des mélomanes, des amateurs de classique et auditeurs aimant simplement la musique et la respectant, au nom de tous ceux-là, je tiens à présenter toutes mes excuses à Monsieur Ludwig van Beethoven.

 

Attention !
Les images qui suivent peuvent heurter les âmes sensibles et s'adressent à un public averti (qui en vaut deux).

J'imagine que le portrait de Beethoven peut surprendre dans un article consacré à une chanson d'Arielle Dombasle.
Il y a pourtant un rapport.

Entre 1811 et 1812, Ludwig van Beethoven compose sa 7ème symphonie en quatre mouvements.
Improprement qualifié d'allegretto, le deuxième mouvement est une marche solennelle et lente, ainsi jouée selon certains par non respect des notes du compositeur quant au tempo.


La musique classique a inspirée de nombreux artistes contemporains qui ont ainsi permis aux jeunes générations de découvrir ces trésors musicaux.

Ainsi l'immense Arielle Dombasle...

Arielle, la Flamme, les J.O. et Marianne

Grâce à 20 Minutes en ligne, j'apprends donc que la septuagénaire sera le 14 juillet prochain devant l'Hôtel de Ville de Paris pour accueillir la Flamme olympique et, accessoirement incarner cette pauvre Marianne qui a bien besoin d'un coup de jeune.

Article dithyrambique et questions en mode cirage de pompes, on est très loin de la polémique contre Aya Nakamura. Exemple :

Dans cet exercice très chargé de symboles – avec la flamme, les drapeaux… – où vous incarnerez une sorte de Marianne olympique, quelle sera la place de votre singularité ?

Il faut être soi-même pour pouvoir incarner et transmettre la joie, l’exaltation. C’est quelque chose que j’ai toujours cherché à faire. Quand je ne vais pas bien, je me cache… Mais pour l’heure, que Paris soit une fête avec tous ses athlètes… "Tour Eiffel, comme un trésor d’une pluie de médailles d’or" !

Ah ! Hé ben mon n'veu ! Si ça c'est pas de la lèche !
Mais, alléchée par le truc, je suis allée voir de quoi il retourne et je n'ai pas été déçue !

J'ai d'abord cru que je m'étais gourée de clip, pensant voir un clip pour une célèbre marque de chaussures de sport. Mais non, j'étais bien au bon endroit !
J'ai tenu jusqu'au bout et j'ai fini pliée de rire devant mon écran !

Après "C'est Mozart qu'on assassine", c'est Beethoven que l'on massacre !
Et pour une fois, les commentaires sont unanimes, et à mourir de rire ! Ce qui explique peut-être le ratio entre les près de 300 000 vues et moins de 1 500 like.

A noter que dans la présentation du clip, Beethoven n'est pas cité : un sursaut de lucidité ?
Merci Arielle Dombasle pour ce bon moment de franche hilarité !


 

 

1 commentaire:

  1. j'aime bien Arielle, mais pas tout dans son oeuvre d'intello
    OH OH OH

    et là je passe, je me sauve

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