Quand "les amis de Georges" parlent de Brassens, c'est toujours pour en brosser un portrait par touches d'admiration, d'amusement et de tendresse.
A travers des mots simples ils parlent de cet ours mal léché qui masquait sa tendresse et ses fragilités derrière un ton bourru et une moustache qui soulignait le sourire ironique.
Pour ce chanteur amoureux des mots, c'était "les copains d'abord" et parmi eux, un autre maître des mots : Raymond Devos.
Dans un bric à brac invraisemblable d'objets collectionnés au gré des amitiés, le comique du nord parle de son ami Sétois avec une simplicité touchante comme l'amitié vraie.
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