"Viens mon bébé faire câlin à môman ! Hmmm ! Elle t'aime maman".
Hein ? Non non ! Je ne parle pas à mes petits enfants mais à un de mes chats.
Pardon ? Je suis gaga ? Ouaip ! Et j'assume complètement.
Je ne suis de ceux qui par un étrange glissement affirment que les animaux sont meilleurs que les hommes, rapport de valeur qui n'a pas de sens.
Par contre, il y a franchement des moments où la compagnie de mes chats m'est bien plus supportable que celle de mes congénères !
Avec une CopiNet qui se reconnaîtra nous échangions sur nos rapports avec nos compagnons à quatre pattes, et je lui dédie ce petit billet.
D'aucuns gloseront en parlant d'anthropomorphisme aigu. Qu'ils glosent, ça les occupe !
Au fil de la conversation nous nous découvrons un point commun : pour faire plaisir à ceux qui nous offrent leur affection sans contrepartie, nous leur offrons des petits moments gastronomiques.
Filet de poisson ou de poulet cuisiné avec amour, petit dessert, biscuit d'anniversaire ou crêpes parties, rien n'est trop bon pour nos gourmets, parce qu'ils "le valent bien".
Bien sûr l'une et l'autre avons eu droit à nos petites réflexions ironiques.
C'est alors qu'une scène de film m'est revenue à l'esprit !
"Archimède le Clochard" et les Affreux
Ce film de Gilles Grangier, sorti en 1959 , n'entrera pas au panthéon des "grands" films mais il réserve encore de savoureux moments !
Archimède est un truculent clochard qui refuse de dormir sous les ponts et a plutôt des goûts de luxe. Pour atteindre son objectif, Archimède fera tout pour dormir en prison.
L'idée originale du scenario est signée Jean Moncorgé, alias Jean Gabin dans le rôle titre. Presque sans surprise, les dialogues sont signés Michel Audiard.
Pour les plus jeunes qui s'égareraient ici, "Et monsieur boit du vin bouché !".
A cette époque, il y avait le 5 étoiles avec petit bouchon en plastic, "vin" très bas de gamme qui faisait des trous dans l'estomac et le vin "bouché", avec bouchon de liège, 100 % élaboré avec du raisin, plus cher.
"Sujet de pendule" : définition
Finalement, les années passent mais il y a toujours les zenvieux, les kikritiquent, les affranchis de rien mais revenus de tout !
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